
Depuis des décennies, le régime israélien justifie son occupation, ses expulsions et ses massacres par des récits religieux et des arguments historiques aussi fragiles que contestables. Mais sur le terrain, la réalité est en train de leur échapper.
Quand la nature elle-même se rebelle contre l’oppression
« Après le corbeau l’année dernière et le lynx égyptien pendant le Ramadan cette année, voici… le requin Qassam. » La boutade circule dans les réseaux sociaux, mais elle en dit long sur l’absurdité d’une occupation qui se heurte désormais à une résistance inattendue. « Je ne serais pas surpris qu’un jour, les arbres et les pierres se mettent à parler pour dénoncer ces crimes génocidaires », ironisent certains.

L’armée israélienne : une puissance en papier face à la résistance palestinienne
Sur le terrain, Israël ne domine que par les bombardements lâches à distance. Dès qu’il s’agit de combats au corps à corps, les chiffres parlent d’eux-mêmes : les pertes israéliennes ne cessent d’augmenter. Le moral de l’armée d’occupation est au plus bas, au point que des vidéos de soldats en pleurs se multiplient.
Pendant ce temps, la résistance palestinienne, malgré un déséquilibre militaire flagrant, tient tête et inflige des coups stratégiques qui ébranlent le mythe de l’invincibilité de Tsahal.
La fuite des colons : l’échec cuisant du « retour après 2000 ans »
Les statistiques le montrent : l’émigration vers Israël stagne, tandis que de plus en plus de citoyens israéliens, notamment ceux issus de la « diaspora », choisissent de retourner dans leurs pays d’origine. Ironie de l’histoire : ceux qui prétendent que cette terre leur appartient depuis 5000 ans sont les premiers à la fuir, tandis que les Palestiniens, accusés d’être des « étrangers » depuis 70 ans, restent ancrés dans leur sol, coûte que coûte.
La grande peur d’Israël : l’union arabe
Le cauchemar absolu des dirigeants sionistes ? Que les frontières arabes tombent et que les peuples se soulèvent. Ils savent très bien qu’ils sont entourés par un enfer qu’ils ne pourront contenir sans le soutien inconditionnel des États-Unis et de l’Occident. C’est d’ailleurs pour cela que Washington et ses alliés s’évertuent à soutenir les régimes arabes autoritaires, garants de la « stabilité » – c’est-à-dire de la survie d’Israël.
Mais les temps changent. Les peuples arabes, malgré les divisions alimentées par leurs propres dirigeants, n’ont jamais été aussi conscients de la menace sioniste. Et quand le réveil viendra, ce ne seront pas les bombes ni les drones qui pourront l’arrêter.
La chute du projet sioniste est en marche. Et elle est irréversible.

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Commentaires
Vive la Palestine
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