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Le jeudi 26 septembre 2024, des frappes menées par l'armée israélienne au Liban ont causé la mort de 92 personnes et en ont blessé 153 autres, selon les informations fournies par le ministère libanais de la Santé.
Essentiel à retenir :
1. Bilan humain :
Les frappes israéliennes au Liban du 26 septembre 2024 ont causé 92 morts et 153 blessés, selon le ministère libanais de la Santé.
2. Répartition des victimes :
Les décès se répartissent comme suit : 40 dans le sud du Liban, 25 dans la région de Baalbek-Hermel, 23 dans la Bekaa, et 4 dans la région du Mont Liban.
3. Cible principale :
Les frappes israéliennes visaient principalement le Hezbollah pour la quatrième journée consécutive.
4. Objectif d'Israël :
Israël a mené des frappes précises, tuant notamment Mohammed Srour, chef de l’unité de drones du Hezbollah.
5. Ripostes militaires :
Israël affirme avoir frappé 75 cibles militaires du Hezbollah et l'armée israélienne a signalé des tirs de projectiles en provenance du Liban, tandis que le Hezbollah a lancé une centaine de roquettes sur les villes israéliennes de Safed et Haïfa.
6. Déclarations politiques :
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a réitéré la volonté de poursuivre le combat contre le Hezbollah.
Son ministre des Affaires étrangères, Israël Katz, a confirmé l'absence de cessez-le-feu dans le nord, soutenu par les ministres d'extrême droite Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir.
Les attaques ont principalement touché des régions du sud du Liban, ainsi que Baalbek-Hermel et la Bekaa, où les forces israéliennes ciblent des positions du Hezbollah pour la quatrième journée consécutive.
Les autorités israéliennes ont affirmé avoir frappé 75 cibles militaires du Hezbollah, un groupe soutenu par l’Iran, et annoncé la mort de Mohammed Srour, le chef de l'unité de drones de cette organisation.
Le Hezbollah a confirmé la mort de ce dernier dans un communiqué.
En réponse, l’armée israélienne a signalé que plusieurs projectiles avaient été tirés depuis le Liban, tandis que le Hezbollah a revendiqué le lancement d’une centaine de roquettes visant les villes israéliennes de Safed et Haïfa.
Sur le plan politique, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a réaffirmé que l'armée poursuivrait ses opérations contre le Hezbollah « avec toute la force nécessaire ».
Le ministre des Affaires étrangères, Israël Katz, a quant à lui déclaré qu'il n'y aurait « pas de cessez-le-feu dans le Nord », une position soutenue par les ministres d'extrême droite Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir, ces derniers rejetant tout accord de trêve temporaire.
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