Les réseaux sociaux, prisons à ciel ouvert : comment nos cerveaux sont piratés à coup de notifications
C’était un jour comme un autre. Vous étiez en train de travailler, de cuisiner ou de profiter d’un rare moment de calme. Soudain, un "ding" résonne depuis votre téléphone. Une notification. Un message. Une mention. Peut-être rien d’important, mais voilà : vous déverrouillez l’écran. Vous ouvrez l’application. Et sans même comprendre comment, deux heures ont passé. Vous êtes encore là, à scroller, à cliquer, à réagir. Vous n’aviez rien prévu. Et vous n’en retirez rien. Bienvenue dans l’une des prisons les plus sophistiquées de notre ère : les réseaux sociaux.